photo Requiem(s)

Requiem(s)

Dijon 21000

Le 13/05/2025

Dans Requiem(s), les dix-neuf danseurs dirigés par Angelin Preljocaj donnent chair et matière à certaines des plus belles pages de la musique religieuse: une bouleversante méditation chorégraphique sur la vie et la mort. La nouvelle chorégraphie d’Angelin Preljocaj est construite autour d’une forme musicale qui a longtemps résumé un certain rapport occidental à la mort. Loin pourtant d’une liturgie funèbre, les danseurs de Requiem(s) livrent à travers cette forme dans laquelle d’innombrables compositeurs se sont illustrés, un véritable requiem chorégraphique, où les œuvres musicales devraient apparaître dans un alliage contrasté, laissant la part belle à des créations sonores aux atmosphères contemporaines. Introspective plus que solennelle, cette nouvelle création explore les sentiments de la perte, mais aussi ceux de la joie de vivre, opposant à l’idée de la finitude l’exubérance et le mouvement des corps. Une œuvre contemporaine préoccupée par les disparitions que porte notre crise écologique, mais qui décèle partout, à travers la mort, la résurgence du miracle de la vie.

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Requiem(s)

Musique, Danse - Bal - Cabaret

Dijon 21000

Le 13/05/2025

Dans Requiem(s), les dix-neuf danseurs dirigés par Angelin Preljocaj donnent chair et matière à certaines des plus belles pages de la musique religieuse: une bouleversante méditation chorégraphique sur la vie et la mort. La nouvelle chorégraphie d’Angelin Preljocaj est construite autour d’une forme musicale qui a longtemps résumé un certain rapport occidental à la mort. Loin pourtant d’une liturgie funèbre, les danseurs de Requiem(s) livrent à travers cette forme dans laquelle d’innombrables compositeurs se sont illustrés, un véritable requiem chorégraphique, où les œuvres musicales devraient apparaître dans un alliage contrasté, laissant la part belle à des créations sonores aux atmosphères contemporaines. Introspective plus que solennelle, cette nouvelle création explore les sentiments de la perte, mais aussi ceux de la joie de vivre, opposant à l’idée de la finitude l’exubérance et le mouvement des corps. Une œuvre contemporaine préoccupée par les disparitions que porte notre crise écologique, mais qui décèle partout, à travers la mort, la résurgence du miracle de la vie.